Espace Public

Deux modèles en mutation : le Canada depuis 2008 et la Belgique depuis cette rentrée scolaire. Au Canada les tensions demeurent. En Belgique, la nouvelle organisation, semble ne pas convenir aux familles et ne pas faciliter l'organisation de ces enseignements

Le père Christophe Sperissen, directeur du Service diocésain de l'enseignement de la religion à l'école, adresse un courrier aux parents d'enfants scolarisés dans le second degré. Objectif : rappeler quels bénéfices les jeunes peuvent tirer de leur participation au cours de religion.

Durant l’année scolaire, des classes de 6e et 5e du collège de Benfeld ont travaillé sur le mieux vivre ensemble et la connaissance de l’autre à travers l’art religieux musulman, juif et chrétien.

Comme tous les autres profs, Nathalie Hirtzlin retrouve (ou découvre) son établissement, son emploi du temps, ses collègues et ses élèves. Une des particularités de ces profs comme les autres, mais pas tout à fait, repose sur le choix que font les élèves et leurs parents de participer, ou pas, à leur cours... Un combat de tous les jours... Témoignage...

La liste des compétences que les professeurs, professeurs documentalistes et conseillers principaux d'éducation doivent maîtriser pour l'exercice de leur métier est redéfinie et entre en application le 1er septembre 2013.

Pour Michel Deneken, ancien doyen de la faculté de théologie catholique de Strasbourg, l’avenir de la religion à l'école dépend de la volonté des familles.

Le projet : Intervention de l'association "Collectif.etc" pour une co-construction (élèves, adultes du lycée et architectes) d'un mobilier (banc sphérique en bois) dans le hall d'accueil du lycée.

Les récentes menaces pesant sur le caractère obligatoire du cours de religion à l’école font réagir Talitha Guittin.

Reportage sur l'évolution de l'enseignement de la religion à l'école et de la place du droit local d'Alsace et de Moselle dans la future grande région.

Nous devons écouter ce que les détracteurs de l'enseignement religieux en Alsace instruisent à charge pour construire notre communication à décharge. Certes, Monsieur Gillig connait le dossier mais son idéologie (président du "Cercle Jean Macé") réduit à néant sa volonté de s'ériger en historien. Peut-il donner des leçons de neutralité ?